dimanche, avril 23, 2006

Des nouvelles du Ragoustan !



"On parle peu aujourd'hui du Ragoustan, de sa capitale Piopolis, que baignait-dit-on- la Vurenne. On ne parle plus, ou si peu -et si mal-, de ce peuple industrieux et naïf, le vaillant peuple ragoustanais, dont le génie n'est plus célébré que par quelque universitaire chafouin - et presque toujours en dépit du bon sens. C'est injuste et c'est triste.

Ainsi, comme avant elle Babylone aux jardins suspendus, Jirokastra la ville-musée, Ulan bator ou Tataouin, Piopolis allait voir ses fastes sombrer dans l'oubli ?
Non mes amis, ne courbez pas l'échine sous le poids du chagrin.

Car un homme de bon sens, aujourd'hui relève ce défi immense : Ramener à la vie tous ces grands hommes, ces hommes qui savaient rire et pleurer, ces Ragoustanais, nos amis, nos frêres.Ainsi je le dis bien haut en levant ma coupe, je le dis, oui : Merci au bureau des études ragoustanaises et à son directeur Patrick Chevalier ! Merci, et hourrah !"



Evariste Marchand







Mon entretien avec Patrick Chevalier

Suivez le travail de Patrick Chevalier chaque semaine sur
adieupiopolis.blogspot.com

6 Comments:

At avril 23, 2006 10:14 AM, Anonymous Anonyme said...

Mais quelle était approximativement la situation géographique du Ragoustan ?

 
At avril 23, 2006 12:12 PM, Blogger el ryu said...

C'est une bonne question. Merci.

 
At avril 24, 2006 10:49 AM, Anonymous Anonyme said...

Bon, je vois que je suis sur un site d'ignorants...

Le Ragoustan, c’est bien connu, est bordé à l’est par le Juskauboutistan, un pays rude de montagnards barbus, sanguinaires et incultes et à l’ouest par le Saldégoustan peuplé de tribus indigènes polygames qui vénèrent un dieu inconnu ailleurs : Pissendlov. Ce peuple pacifique et très joueur est cependant fort affaibli par certaines pratiques quotidiennes éreintantes et se nourrit de feuilles, qu’il s’amuse aussi à rouler, à allumer, puis à aspirer en rigolant.

La communauté internationale s’est longtemps désintéressée du sort de ces pays qui n’avaient apparemment aucune ressource naturelle digne de ce nom.

Aujourd’hui, il semblerait qu’il y ait du pétrole en quantité abondante dans ces contrées reculées. Georgie Boy, grande âme, veut bien envoyer ses multinationales pour les aider à l’extraire.

On en saura enfin beaucoup plus sur ces peuplades primitives.

CNN y a déjà envoyé une équipe mais ils ont dû faire marche arrière. Pour plus de sécurité, ils reviendront avec les Boys.

 
At avril 24, 2006 3:27 PM, Blogger Brigetoun said...

mais je croyais que le Ragoustan avit disparu. Jamais au courant les boys. CNN va devoir inventer

 
At avril 25, 2006 3:54 PM, Anonymous Anonyme said...

Bon il y a aussi le Saint-Goustan étalant ses pavés et ses quais au bors d'une rivière bretonne qui ont vu un certain Ben Franklin débarquer pour venir demander de l'aide aux Français éclairés du 18è siècle, eh oui en ce temps là c'est chez nous qu'était le pays de la liberté et des idées neuves, bon depuis on s'est un peu endormi et maintenant les jeunes loups aux dents longues à rayer le plancher vont chez les petits fils de Ben chercher fortune qui disent parce que ici :"c'est pas réformable" et y a plus que des fonctionnaires, c'est paraît-il le seul truc qu'envisage notre belle jeunesse, bon je divague un peu, je crois que le vent breton m'est entré dans la tête. Kenavo

 
At mai 27, 2006 3:17 PM, Anonymous Anonyme said...

J'interviens sur ce site pour dissiper certains malentendus concernant le Ragoustan. El Ryu le sait mieux que quiconque-mais il est moqueur-: le Ragoustan non seulement n'existe plus mais était un pays subliminal aux contours mal définis. D'où ces études ragoustanaises infiniment plus sérieuses que les extrapolations effrénées de cette page. Pour s'informer sur le Ragoustan et Piopolis, la plus belle ville du monde, il existe un site et un seul: "adieu Piopolis"
dirigé par votre serviteur Patrick Chevalier directeur du bureau des études ragoustanaises de première catégorie disponible pour toute question concernant le Ragoustan et Piopolis la plus belle ville du monde. A bientôt.

 

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